top of page

ARCHIVES DE LA DISPARITION DES ESCALIERS

Téléchargez ci-dessous l'application qui vous permettra de revoir ce qui a disparu durant votre visite. Les anciens escaliers de la gare, par exemple.

Ou prenez la porte plus bas et partez en exploration à votre guise. 

​

​

 

 

 

 

 

 

 

 

​

​

​

​

​

qr-googleplay.png
qr-applestore.png
Revoir.png

Et si Personne existe c'est qu'il y a des noms derrière tout ça et des Mercis qui se disent...

​

MERCI À

 

Dejan Gacon qui m’a mis sur cette grille… et sur ce pharmacien,  dans et sur toutes ces choses, et puis qui a choisis les mots et puis qui a rajouté les autres et ensuite qui a bidouillé ce fanzine que j’ai pas vu (mais que j’ai hâte, oh comme j’ai hâte de le voir). (lui qui se demande encore si je vais lui répondre « Quoi Dejan, mais c’est quoi ce bordel!? »)

 

Louis Jucker ben lui aussi mais j’ai commencé, Louis parce qu’il s’est pas coupé les cheveux et qu’il a dit « oui, je veux bien » et que ensuite il l’a fait et fait bien, que j’ai beaucoup aimé ça, non de bleu…

​

Karim Boukris pour toutes ces histoires d’animaux et de justice d’antan, ainsi que pour sa voix idéale pour cet enregistrement.

 

Riton pour sa longue balade, toutes ces histoires et toutes ces inspirations et cette voix aussi qui témoigne parfaitement ce qu’il faut témoigner.

​

Agathe Raboud, bras droit, je pas gauchère, je sais pas ce que ça veux dire, je sais juste qu'elle est indispensable dès maintenant, et qu'elle se fait pas mal aux hanches quand elle danse.

 

Clémence Mermet qui… mais attends, ah oui on a le même papa, la même maman et le même nom… donc on est soeur! Clémence Mermet qui a pris en main le côté allemand de l’affaire que j’arrivais plus à tenir moi… avec le sourire et qui m’a soutenue de fond en comble! (Oui Clémence j’ai dit oui!)

​

Mathilde Vaucher oh Mathilde Vaucher qui a pondu en 2-2 les affiches magiques à glisser dans toute la ville, qui m’a donné l’idée de suspendre un sapin qui pue la vanille et qui a supporté aussi mes angoisses de colocs, qui se demande ce qu’elle fait.

​

Steven Doutaz pour son gros beat. (Et deux ans plus tard pour tous ces gros beats) (et bien plus encore) (pour toutes ces fois où je peux toutr avec lui (nouveau verbe absolu))

​

Sarah Anthony, rire girafe collier, Stella Giuliani c'est une étoile, mais vraiment, Amelie Verone c'est une fusée ou alors elle est double, Valérie Jenouvrier dresseuse de spectateurs, Fiona Carroll jamais vraiment déguisée ou toujours, Salomé Guyot épilée, Hannah Meuli à prendre tout ce qui passe dans ses bras, Damian Rognon à dessiner tout ce qui lui passe par là, Ilinka Guyot , la plus tendre (pour de vrai, dans le fond), Alexandra Gentile, Milena Ioset, attendez je fatigue, Aurore Faivre, Mathias Antonietti, Chady Abu-Nijmeh, Damien Naimi, Aurore Jecker, Maëlle Torné, Lucie Rausis, Remy Rufer, Léon Jodry, Tenko, Naomie Mabanda, Mirsada Talovic, Patrice Chapuis, Albertine Mermet, Cécile Mermet, Isabelle, Anicée, Ernestine Mermet , Laurence Maître, Nathalie Grossenbacher, Sandro De Feo, Sylvia Pellegrino, et Camille (l’autre) Depietro, qui nous ont tous fait croire à tout et à rien pendant cette visite.

​

Nicolas Bellego et son entre-deux monde, a disposition, toujours avec souplesse, panache et quelques sentences bien placées.

​

Olivier Béroud qui m’a dit : demande à Karim et demande à Riton, et il avait raison. Et puis pour m’avoir raconté des choses sur les escaliers (je dirais rien) et pour m’avoir supportée de près et de loin cette période.

​

Patricia Arce et L'atelier simple, pour avoir transmodifié une chose disparue (encore une?) en une autre qu'on ne sait pas si elle existe vraiment. Il faut essayer pour y croire "appelle ta mer".

​

Stéphane Jäggi qui a su inventer The application pour nos nouveaux anciens escaliers, pour une chaux-de-fonds à fond progressiste. (oh yeah) 

​

Sophie Gagnebin pour son nouvel oeil, juste comme il faut.

​

Guillaume Perret qui photographie toujours ce que je vous dirais mettre en image photo et qui le fait bien. très bien.

​

Ana Gölding, que j'ai jamais vu en vrai (seulement en faux).

 

Arthur De Warenghien (merde je saurais jamais comment l’écrire, mais heureusement Clémence l’a corrigé pour moi), qui a fait de la peinture bleue, et seulement bleue, juré! dans les escaliers de la gare et qui a du donc supporter cette odeur plus de 20 minutes. (Et qui a un petit gout pour l’aventure aussi).

 

Manu d’avoir dit « ok » je tente, j’en dis pas plus, c’est beaucoup pour moi.
 

Quadraat tout entier pour le merveilleux livre tout entier. Mission accomplie!

 

David May le meilleur David May du monde, qui est valaisan dans le fond, si si, mais ça ne fait rien, et qui m’a permis de faire un joli bon de progression et qui sait toujours m’écouter et qui sait toujours me répondre et qui est toujours bien.

 

Nono qui m’a fait sa visite à elle de la ville avec ses petites notes et puis qui ensuite, comme d’hab, a été là quand il fallait et a fait ce qu’il fallait tout calmement.

 

Rebbeca qui m’a dit «  Viens on boit un café et je regarde ce que je peux faire avec ta liste à rallonge de gens qui veulent manger et dormir ».

​

Yvan Rhis toujours, dans le présent, dans le passé et dans l’avenir, un point capable de faire tourner les choses comme elles peuvent, aider à faire tourner le monde dans le bon sens (-elle divague? -qui? -ben camille? -peut-être pas).

​

Ludovic Chazaud le metteur en stroumpf référent, ouais bon c’est une vieille blague incompréhensible. Qui a été là pour les tout premiers pas d’écriture et avec qui je discute de ce que c’est de faire des tout premiers pas.

​

Aurélien Patouillard qui a eu envie de rester un peu plus longtemps à la Chaux-de-fonds et a donner les dernières notes majeures qui ont juste bougé ce qu’il fallait bouger de cette histoire pour quelle fonctionne  (si on dit qu’elle est réussie - à vrai dire elle l’est pas vraiment, elle peut pas, elle peut juste l’être presque…(je me comprends)).

 

Nathan Jucker pour le Batelier, ses outils et son ossillateur qu’il nous prête sans le savoir.

 

Arthur Heny pour para-bruit-vocal-technique-chut-crache-pas.

 

Kalu pour sa matérialisation de notre forgeron

 

Burki pour son AK6414 et son ZZ9X12 ++. 

 

Jenny, Anne, Marie-France (non en vrai elle s’appelle Marie Florence mais je l’emmerde) mes collocs qui ont testés la formule, l’ont vu grandir et m’ont fait des supers retours. 

 

(quelqu’un pleure en ce moment?).

 

Cédric Dupraz pour sa documentation sur le Lac du Locle.

 

Théo Bergnard pour le café et toutes les informations récoltées, moins visibles que d’autres mais très instructives dans le fond de ma recherche.

​

Agathe Beaumont, Chantal Nicolet-Schöri et Alizé Treyvaud pour votre idée de la culture et pour votre sens de son partage. 

​

La Méridienne pour la superbe vitrine liée à la « Troisième Vérité ».

 

Humus record pour les petits moments discuss' au studio.

 

Ma mère, mon père, mon chat, ah non il est mort.

 

Le Vostok, oui, qui m’a prêté des chaises et une table et qui est un bar super.

 

Markus, pour lui dans la Chaux-de-fonds, qui disait que cette ville c’était «son cimetière et son néant et qui disait aussi  que pendant les 3000 mille dernières années Jérusalem a recherché inconsciemment le conscient et pour les 3000 mille prochaines années, La Chaux-de-Fonds va rechercher consciemment... l’inconscient.

 

L’office du tourime, pour son miroir et ses gens sympas, et notre affiche

 

Le musée d’histoire pour ses visites, ses histoires et ses sirop à la cafète.

 

Et toutes les personnes qui nous ont ouvertes leurs portes et leurs vitrines.

 

Et toutes les autres qui sont là sans le savoir… mais qui sont là, dans notre paysage et qui transforme le décor.

​

 

​

 

La Chaux-de-Fonds, cet asile psychiatrique à ciel ouvert … 

​

​

bottom of page